La médiathèque
Triumph, les Anglaises de caractère
Triumph.. un nom de victoire.
Et la mythique marque anglaise n’en a manqué ni sur le plan sportif, ni sur le plan commercial.
Aujourd’hui encore, Triumph évoque immanquablement un roadster pur et dur, à la conduite « virile »
Texte de Larry Wilcox Photos de Pierre-Yves Gaulard
Editions ETAI
Les Triumph en compétition
Volume 1
Ce premier tome d’une série qui en comptera six est consacré aux automobiles Triumph en compétition dans les années 1954 à 1961.
Ce sont principalement les carrières en rallye des TR2 et TR3 qui sont donc ici relatées.
Auteur(s) : F. REYDELLET
Format : 21 x 30 cm – 104 pages – en français – 150 photos noir & blanc – couverture souple
Volume 2
Ce deuxième tome nous relate l’histoire des Triumph en compétition de 1954 à 1961.
En bonne place figure “Le Marathon de la Route”, l’inénarrable Liège-Rome-Liège de 1954 à 1960 et Liège-Sofia-Liège de 1961. Les pilotes nous racontent des anecdotes sidérantes, leurs exploits, leurs pannes durant ces Rallyes mythiques illustrés de photographies inédites.
Auteur(s) : F. REYDELLET
Format : 21 x 30 cm – 256 pages – en français – 240 photos noir & blanc – couverture souple
Volume 3
Ce troisième tome nous relate l’histoire des Triumph en compétition de 1954 à 1961.
Toutes les anecdotes et témoignages concernant le Rallye de Monte Carlo de 1954 à 1961 et le Tour de france Automobile 1954, 1957, 1958 et 1959 nous sont relatés et illustrés de superbes photos d’époque.
Auteur(s) : F. REYDELLET
Format : 21 x 30 cm – 160 pages – en français – 220 photos noir & blanc – couverture souple.
Volume 4
Ce quatrième tome d’une série qui en comptera cinq est consacré aux automobiles Triumph en compétition dans les années 1954 à 1961.
Après un avant-propos de Paul Richardson intitulé “Premier contact avec la TR2”, Le célèbre Rallye des Tulipes nous est raconté année après année.
Auteur(s) : F. REYDELLET
Format : 21 x 30 cm – 256 pages – en français – 315 photos noir & blanc – couverture souple.
Volume 5
Ce cinquième tome, décrit une approche intimiste de la compétition chez Triumph, aux Mille Miglia, à Dunrod, pour le Tourist Trophy, aux 24 Heures du Mans ainsi qu’à Monza pour les records du monde d’endurance de 1959.
Auteur(s) : F. REYDELLET
Format : 21 x 30 cm – 174 pages – en français – 150 photos couleur – couverture souple.
Volume 6
Ce sixième tome traite du rallye du RAC 1954-1961, du tour de Corse 1956-1960, des TR usine Compedium ainsi que les années TR4 de 1962 à 1963 et de l’épopée Spitfire piste et rallye.
Auteur(s) : FREDERIC REYDELLET
Format : 21 x 30 cm – 400 pages – en français – 533 photos couleur et noir & blanc – couverture souple.
Restauration d'un Triumph Spitfire
Volume 1
Pas à pas, découvrez la restauration d’une Triumph Spitfire 1500 FH, le plus abordable des cabriolets britanniques. Au fil des différents volumes, tous les sous-ensembles subiront une rénovation en profondeur, expliquée avec tellement de détails que vous pourrez la suivre quasiment les yeux fermés. La méthodologie développée s’adapte parfaitement à tous les autres modèles de Spitfire, les divergences se jouant essentiellement sur les réglages donnés par les Manuels de réparation d’époque ou leurs reproductions actuelles.
Dans ce premier volume, nous vous invitons à la prudence dans le choix de la base et nous vous guidons dans l’acte d’achat pour en éviter les pièges. Vous y trouverez également un guide d’identification qui vous permettra de vérifier l’origine du modèle ou de traquer les éventuels bidouillages faits par les précédents propriétaires. Et nous développons une procédure de désaccouplement entre la caisse et le châssis qui n’est peut-être pas des plus académiques, mais qui s’est avérée particulièrement efficace.
Volume 2
Dans ce deuxième volume consacré à la restauration d’une Triumph Spitfire 1500 FH, nous procédons au déshabillage du châssis. Autrement dit à la dépose des tirants de support de radiateur, de l’alternateur, des carburateurs, du démarreur, du moteur, de la boîte, de l’arbre de transmission, de la lame de ressort AR, des demi-trains AR, du pont, de la crémaillère, des étriers et disques de freins, des demi-trains AV, des tourelles de suspension, des câbles, des durits de frein et d’essence et des agrafes.
Puis nous poursuivons avec les opérations de grattage et de redressage du châssis et le remplacement des deux supports d’articulation de capot, avant de confier le châssis nu à un professionnel qui va le dégraisser, le métalliser, l’apprêter et le peindre à l’Epoxy pour lui assurer une protection maximale. Au passage, nous attirons votre attention sur un certain nombre d’interventions qui nécessitent méthode et repérages soigneux…
Volume 3
Contrairement à tout ce que l’on a pu vous raconter, la réfection d’un pont de Spitfire n’est pas si complexe que ça, et elle ne nécessite pas forcément tout l’outillage préconisé par le Manuel. Il facilite le travail, mais on peut s’en passer. Ce n’est, malgré tout, pas une opération à entreprendre si l’on débute car bien que nous ayons pris soin de détailler dans un langage simple une méthode reproductible par tous, elle exige des tours de main pas toujours évidents et des procédures demandant précision, rigueur et… interprétation. Cela dit, si vous vous sentez l’âme mécanique (et si vous possédez une anglaise, c’est forcément le cas), voilà une pièce que vous prendrez plaisir à remettre en état ou à simplement ouvrir pour la nettoyer et vérifier ses jeux, les pièces d’usure étant disponibles sur un simple coup de fil.
Cerise sur le gâteau, Triumph n’étant pas du genre à changer une équipe qui gagne, ce type de pont hypoïde suspendu est identique à toutes les Spitfire, du début de production à la fin, et il a même été monté sur les Herald 950 et 1200, Vitesse 1600 et 2 l, et sur les GT6. Avec quelques variantes pour le couple couronne/pignon d’attaque, la démultiplication finale n’étant pas la même suivant les modèles et les générations. Schématiquement, au fil du temps, ce pont s’est mis à tirer plus long, histoire de mieux profiter des augmentations de puissance du moteur. Cette expérience vous tente ? N’hésitez plus, suivez-nous pas à pas…
Volume 4
Sur le papier, la réfection du train AR ne pose pas de problème majeur. Toutes les pièces sont disponibles sous forme de kits et l’on se dit que ça va être une promenade de santé. Ce n’est malheureusement pas toujours le cas comme nous en avons fait la douloureuse expérience avec un moyeu carrément soudé à l’arbre de roue. A cause d’un emmanchement conique, d’un clavetage et de la rouille. Il a fallu employer une méthode peu conventionnelle pour sauver l’arbre (une des rares pièces ne figurant pas au catalogue Moss).
Nous avons également eu la surprise de découvrir des mâchoires de frein mal montées, des pivots tordus, des lames de ressort affaissées qu’il a fallu faire rebander et quelques autres douceurs. Tant mieux, nos galères étant autant d’expériences dont vous pourrez profiter dans ce quatrième tome consacré à la dépose des freins, du moyeu (méthodes classique et plus barbare), du flasque de frein, du pivot, des roulements de moyeu et des croisillons de cardan ; puis au remplacement de ces mêmes croisillons et des roulements de moyeu, au montage du flasque de frein, du pont, du compensateur de frein à main, du ressort à lames, des arbres de roues, des amortisseurs, des tirants de suspension, des freins, du moyeu de roue, des tubes de frein et de la commande de frein à main.
Volume 5
Grâce à ce cinquième fascicule, vous allez comprendre que rénover une boîte de vitesses n’a rien de bien compliqué. Surtout lorsque sa conception est aussi simple. Cette opération ne nécessite même pas la ribambelle d’outils spéciaux préconisés par le Manuel de réparation. Nous avons trouvé des moyens élégants et gratuits pour parvenir au même résultat. Avec succès. Comme nous aimons bien aller au fond des choses, nous avons procédé à une réfection en profondeur, avec démontage complet, autopsie des pièces et remplacement de nombreux éléments. La procédure est décrite image par image, avec suffisamment d’explications pour comprendre les raisons qui poussent à exécuter certaines opérations et pouvoir, dans le futur, identifier la source la plus vraisemblable d’un problème et effectuer la réparation.
Dans ce nouvel opus, nous allons donc voir comment assembler la fourchette d’embrayage lorsqu’on remplace la butée, changer les roulements (aiguilles dans le train de renvoi, AV/AR de l’arbre secondaire), contrôler le verrouillage d’un moyeu de synchro, préparer les plans de joints, assembler l’arbre secondaire en changeant ou non les synchros, mettre en place et régler les fourchettes, équiper le carter d’embrayage et remonter l’ensemble sur le châssis.
Volume 6
La réfection du train AV ne pose aucune difficulté majeure. Elle exige simplement de la méthode et de la patience, et le remplacement de toutes les pièces d’usure qui, fort heureusement, sont disponibles. Comme vous le constaterez, nous vous avons fait grâce des opérations de nettoyage, de sablage, de phosphatation et de peinture de tous les sous-ensembles.
Par contre, nous vous détaillons toutes les phases de ce chantier, image par image, afin que vous puissiez les reproduire sans vous poser de question : montage des tourelles de suspension, remplacement des silentblocs de triangle et de barre antiroulis, assemblage du triangle supérieur, mise en place des triangles de suspension et réglage préliminaire du carrossage, réfection des pivots de fusée, des moyeux et leur montage, accouplement amortisseurs/ressorts, rénovation de la crémaillère de direction et des freins à disques. Et nous terminons par le serrage, au couple, de l’ensemble. Pour, au final, nous retrouver avec un châssis à nouveau sur ses roues !
Volume 7
C’est l’une des phases de la restauration que nous abordons toujours avec appréhension : l’électricité et ses mystères. Dans notre inconscient se mélangent rituels vaudous et interrogations existentielles sur les couleurs de fils, les connexions, les branchements et les cheminements des faisceaux. Malgré les innombrables photos et notes que nous prenons lors du démontage, il arrive toujours un moment où l’on hésite, on tâtonne, on teste, on fait des incantations.
Sauf que nous nous trouvons ici face à une anglaise et il faut rendre justice à nos amis britanniques : ils ont fait dans la simplicité. Mieux, ils ont eu l’intelligence de normer la couleur de leurs faisceaux pour que les générations qui se succèdent puissent s’y retrouver sans même avoir à se poser de questions. C’est reposant, et nous avons même fini par y prendre goût. Pour tout vous dire, ça nous a réconciliés avec la fée électrique ! Du coup, nous n’avons pas lésiné, remplaçant le faisceau originel et ses multiples bidouillages, reconditionnant tous les périphériques (moteur d’essuie-glaces, alternateur, démarreur, allumeur) et reconstituant un tableau de bord qui avait été tellement transformé qu’il ne ressemblait plus à grand-chose. Au passage, avec l’aide de l’Amicale Spitfire, nous avons d’ailleurs recensé les quatre types de planches de bord pour vous aider à repérer les transformations qui ont pu être réalisées, au cas où vous auriez envie de suivre notre exemple. Ça n’était pas prévu au programme, mais nous avons pris tellement de plaisir lors de cette phase qu’il aurait été dommage de ne pas aller au bout de la démarche. Cerise sur le gâteau, nous en profitons pour remettre en état l’auvent et les multiples pièces qui l’habillent et se connectent au faisceau électrique. Que du bonheur…
Volume 8
Le démontage du moteur est toujours une phase délicate. Il faut procéder de façon méthodique et méticuleuse afin de ne rien détériorer et faire en sorte que le remontage, qui peut – et ce fut notre cas – intervenir des mois après, soit le plus facile possible. D’un côté purement “pratique”, les mauvaises surprises ou les moments de doute peuvent être multiples : une pièce qui ne veut pas sortir, un outil “ad-hoc” faisant défaut, le mot d’ordre doit toujours rester : calme et lucidité. Ne pas céder à l’énervement ou, pas beaucoup plus constructif, au découragement.
Côté technique, cette phase est également souvent celle des surprises, bonnes (rarement) ou mauvaises (plus souvent). C’est là que l’on commence à avoir une idée un peu plus précise de l’état de l’auto et de ce que la remise en état va coûter. Si ce guide ne vous évitera pas ces dernières déconvenues, il vous permettra de ne pas bloquer sur telle ou telle opération, et vous évitera des erreurs pouvant s’avérer dommageables. Dans sa première partie, le démontage du moteur y est décrit en détail, pas à pas, en 14 étapes faciles à suivre. La seconde partie est consacrée à l’autopsie et la préparation des pièces moteur. Ici, chacun “piochera” les postes qu’il juge nécessaire. Et si la plupart des opérations devront être confiées à un professionnel, il est important, pour ne pas dire essentiel, de comprendre ce qu’il va faire, pourquoi il va le faire et ainsi mieux mesurer l’intérêt de ce travail. A défaut de vous promettre de grosses économies, cet ouvrage vous permettra, pour le moins, de ne dépenser que le strict nécessaire et, c’est tout aussi important, de mieux connaître votre auto.
Volume 9
Dans un volume précédent, nous avons ausculté le moteur pièce par pièce, mis de côté ce qui n’était pas réutilisable, rénové ce qui pouvait l’être. Et surtout, nous étions arrivés au “point de bascule” de la restauration, ce moment, trop bon, où le démontage s’achève et le remontage se profile. Les mauvaises surprises quant à l’état de l’auto sont derrière nous, et une sorte de “dernière ligne droite”, certes semée d’embûches, mais où l’on entrevoit déjà la lumière au bout du tunnel, s’ouvre désormais devant nous.
Avec ce fascicule, c’est donc la seconde partie de la remise en état de la Spitfire qui débute : celle où les éléments commencent à s’emboîter. S’il est une phase où l’on doit être particulièrement méticuleux, c’est bien celle-là. Des derniers contrôles de jeux à l’accouplement moteur-boîte en passant par le montage des éléments annexes (allumeur, démarreur, radiateur…), aucune étape ne manque pour qu’au bout du compte, ce moteur puisse donner le meilleur de lui-même, et pour longtemps. Malgré toute l’impatience de le voir achevé, il ne faut surtout pas se précipiter et “bâcler” le travail. Cela pourrait remettre tout en cause. Prenez votre temps, si cela est nécessaire, faites-vous aider par des personnes compétentes. Et surtout, gardez bien à l’esprit que souvent, les opérations les plus délicates ne sont pas celles auxquelles on pense. De la patience, de la méticulosité, et le jour du premier coup de clé venu, tout devrait bien se passer. En attendant, avant de vous lancer, pensez à vérifier que vous avez bien toutes les pièces neuves requises. Ce serait dommage de se faire couper dans son élan.
Volume 10
Ce dernier volume va (enfin) voir notre Triumph Spitfire retrouver le bitume. Mais avant cela, il va falloir remonter et reconnecter tout ce qu’on a défait des mois (ou comme ici des années) plus tôt. Pas toujours évident, d’où l’intérêt de prendre des photos lors du démontage.
Cette longue période de remontage présente une particularité : elle semble souvent interminable, et à chaque nouvelle opération réalisée, on a le désagréable sentiment que le point final vient encore de reculer d’un cran : pas de panique, c’est normal. Ce phénomène connu porte un nom, l’impatiente ! Pourtant, il faut y accorder un très grand soin, car c’est autant de soucis que vous n’aurez pas une fois l’auto remise en route.
Le redémarrage ! Première étape de la renaissance du véhicule. C’est toujours un moment chargé d’émotions, et après quelques balbutiements et un dernier petit réglage, le 1 500 cm3 est sorti de son sommeil. Mais ce n’est pas parce que le moteur tourne que le travail est terminé. Une fois les derniers éléments remontés et l’auto entièrement achevée, le déverminage, phase un peu usante mais ô combien nécessaire, vient encore reculer l’issue de la restauration. Dans notre cas, nous ne fûmes pas épargnés par les soucis, principalement électriques. Une bonne leçon qui permet de souligner l’importance de cette étape facilement “escamotable”, mais où la moindre négligence se paie sur la durée.
Triumph Cars in America
Triumph Cars in America est un livre remarquablement détaillé de la montée et de la chute des ventes de voitures Triumph en Amérique.
C’est l’histoire d’une petite entreprise britannique relativiste établissant sa place sur l’immense marché américain, le changement et la direction de l’entreprise, la fusion avec British Leyland pour faire face aux réglementations gouvernementales américaines de plus en plus nombreuses et aux bouleversements de l’industrie automobile britannique.
Michael COOK
Editions MBI Publishing Company
Triumph TR d'Antoine Grégoire
Pour qui s’intéresse de près ou de loin à l’automobile, les initiales TR résonnent avec un accent particulier : celui de l’époque yé-yé et des folles escapades du coté de Deauville ou de Saint-Tropez. TR2, 3,4, 5, 6, 7, et même 8 : c’est à une véritable dynastie que Triumph a donné naissance.
Sept générations de roadster deux places qui permirent au royaume de Sa Majesté de briller sur la planète automobile … et d’engranger des monceaux de devises !
Une histoire riche, qui méritait bien qu’un ouvrage lui soit consacré.
Antoine Grégoire
Editions ETAI
Triumph TR – 30 ans d’histoire à travers documentations et miniatures
Par Thierry DECERISY
Ouvrage de 208 pages tout en couleurs avec de très nombreuses illustrations qui retrace l’histoire de la gamme des TRIUMPH TR sur la période 1951-1981 (TR X à TR 8) mais uniquement à travers la documentation commerciale et les miniatures, cette approche est « différente ».
Prix : 50 €, plus port.
Contact pour commande : t2cerisy@orange.fr
Triumph TR par James Taylor
James Taylor est un auteur à temps plein, qui publie régulièrement dans les magazines de voitures de collection.
Il a écrit plusieurs livres sur les Triumph Stag, TR7, TR8.
Il vit à Woodcote, à coté de Reading dans le Berkshire (UK).
James Taylor
Editions Windrow Greene Publishing
La TR 2 de l'affaire Francis Blake
2011 black et mortimer triumph tr2
Dans la série des voitures et véhicules fantastiques de Blake et Mortimer chez Hachette Collections, sortie de la TR2 de l’affaire Francis Blake 14.99 € chez les marchands de journaux.
Livret et miniature au 1/43ème
Dictionnaire mécanique Français-Anglais
Nous vous proposons un dictionnaire technique gratuit complet et facile d’emploi, franco-anglais et anglo-français, que vous pouvez utiliser directement en cliquant sur l’image.
Gazoline "Votre Auto" N°20 - Les Spitfire 1962 - 1980
Vous avez dit Spitfire ?
Nom de code “Bomb”. Rien à voir avec l’agent secret de sa très gracieuse majesté britannique. C’est le patronyme choisi par le bureau d’études pour travailler sur la future Triumph Spitfire (furie en anglais), un cabriolet sportif et économique dont le dessin est confié à Michelotti. Sa gestation est mouvementée, à l’image des difficultés que traverse Standard-Triumph, stoppée plusieurs fois pour raisons budgéraires…
Mais lorsqu’elle apparaît en octobre 1962 au Salon d’Earls Court, elle fait l’effet d’une bombe ! Sa ligne et ses performances séduisent immédiatement un public conquis par son prix contenu. L’Amérique, premier marché visé, la plébiscite mais c’est bien le monde entier qui s’en empare.
Relookée, dopée progressivement aux vitamines d’un moteur de tracteur que les ingénieurs vont finir par passer de 1.100 à 1.500 cm3, la Spitfire ne s’éteindra qu’en août 1980, non sans s’être essayée à la compétition, et sans jamais décevoir ses aficionados, attentifs aujourd’hui à la restaurer dans le strict respect de l’origine.
Ce guide participe de cette volonté, en détaillant ses évolutions, les numéros de série, les quantités produites millésime par millésime, en prodiguant quelques conseils de restauration nées de l’expérience de ses utilisateurs, en vous offrant une sorte de manuel d’entretien universel adaptable à toutes les générations et en vous proposant les miniatures les plus recherchées.
Toute l'histoire - Triumph
Brochure collector
Une collection de petits livres baptisée « Toute l’histoire » qui s’intéressait aussi aux firmes d’antan et aux marques disparues.
Cet ouvrage de 1983 est maintenant difficile à trouver.
Collection « Toute l’histoire » – 64 pages
Auteur : Michael Frostick
Editeur : EPA – Éditions pratiques automobiles / ISBN 2-85120-445-9